Les drones ont sont entrés dans Paris. Dans la nuit du 23 au 24 février, on les a vus survoler l’ambassade américaine, la place de la Concorde et la tour Eiffel. Puis, la nuit suivante, on les a repérés dans le nord est de la capitale, puis près de la tour Montparnasse. De quoi affoler les rédactions et la police. Alors, assiste-t-on à la grande attaque des drones ? Par vraiment si on en croit la Fédération professionnelle du drone civil (FPDC) interrogée par le parisien.fr. Elle penche en effet pour l’utilisation de drones de loisir et non de modèles professionnels. Ce qui n’est guère étonnant quand on sait que ces joujoux extra high-tech ont connu un franc succès à Noël. Les rayons des grandes surfaces leur ont fait la part belle au moment des fêtes.

Une facilité d’accès qui s’accompagne d’un manque d’information sur les conditions légales d’utilisation. Sans compter que le marché attire de nombreux entrepreneurs désireux d’en exploiter toutes les possibilités. Le gouvernement français a, lui, du mal à encadrer l’évolution rapide du secteur. Un retard de la législation qui se traduit par de nombreuses infractions et une saturation du marché.
Les étudiants de l’Année spéciale de journalisme passent en revue les problèmes que pose un secteur au développement anarchique :
– Une réglementation stricte mais mal connue
– Vers une saturation du marché
– Trop de formations différentes
– Des images «pousse au crime»
– Pas d’Eldorado du drone

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Dossier réalisé par Clarisse BOULAIN, Thomas CHATRIOT et Quentin RAILLARD

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